RDC : Un coup d’État raté à Kinshasa planifié par 40 militaires haut gradé pour renverser le pouvoir de Félix Tshisekedi
Kinshasa, 25 avril 2025 —
Un groupe de 40 militaires, dont plusieurs membres de la Garde républicaine, est actuellement devant la justice militaire en RDC. Ils sont accusés d’avoir préparé un coup d’État visant à renverser le président Félix Tshisekedi depuis la capitale, Kinshasa.
Selon des sources proches du dossier, les prévenus auraient déjà enregistré une vidéo officielle annonçant la destitution du chef de l’État, preuve de la gravité et de l’avancement de leur plan. Les autorités affirment avoir intercepté le projet à temps, évitant une crise institutionnelle majeure.
Selon les premières investigations, les militaires impliqués auraient organisé plusieurs réunions secrètes à Kinshasa, avec une chaîne de commandement clairement établie. Des documents, des armes et du matériel de communication ont été saisis lors des arrestations, laissant penser que le plan était bien avancé.
Le fait que des éléments de la Garde républicaine — censée être la force la plus loyale au président — soient impliqués, a profondément choqué l’opinion publique et soulève des inquiétudes sur l’infiltration de l’appareil sécuritaire.
L’élément le plus troublant reste l’existence d’une vidéo, enregistrée à l’avance, dans laquelle les putschistes annoncent la chute du président Félix Tshisekedi et la prise du pouvoir.
Cette vidéo aurait été retrouvée sur une clé USB, preuve selon les enquêteurs d’un plan déjà en phase finale. Elle pourrait jouer un rôle central lors du procès, attendu comme un test majeur pour la justice militaire congolaise.
Ce coup d’État déjoué intervient à quelques mois des échéances électorales locales et régionales, dans un contexte marqué par des tensions politiques croissantes. Certains analystes s’interrogent sur l’origine réelle du complot, et sur d’éventuelles complicités à l’extérieur de l’armée.
Pour le moment, le gouvernement appelle à l’unité nationale et assure que toutes les personnes impliquées, quel que soit leur rang, devront répondre de leurs actes devant la loi.
Le procès, très suivi, soulève de nombreuses questions sur la stabilité au sein des forces armées et les tensions internes au pouvoir. Le gouvernement promet une transparence totale sur l’affaire, tandis que la population attend des réponses claires sur les véritables motivations des suspects.
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Coup d’Etat faumente par lui-même a la lisière des pourparlers. Ensuite, comme les perquisitions n’ont abouti a rien dans les enclos de Kabila, on va le citer comme étant le chapeau de ce soit-disant pouch. Le nom de Katumbi ne manquera pas à être cité.