Affaire Balthazar : Les 400 Femmes ayant couché avec Balthazar Sont-elles Victimes d’un Envoûtement ? Découvrir ça !
L’affaire Balthazar, qui secoue l’opinion publique, soulève des interrogations profondes autour de la manipulation spirituelle et de la responsabilité individuelle.
Balthazar a couché avec près de 400 femmes et ayant filmé toutes ses actions et dans les sextape ont voit que ces femmes femmes sont toutes contente et heureuse comme si elles tournent des films X ! Pas normal non !
Ce nombre, impressionnant, et le profil de ces femmes – souvent responsables, mariées ou en couple – amènent certains à penser qu’elles n’étaient peut-être pas pleinement conscientes de leurs actes.
Tromper son mari est une chose, mais accepter d’être filmée et même apprécier cela, en étant consciente d’être marier et aussi avec des enfants, et qu’on sait qu’on occupe une position respectable dans la société, il y avait des femmes des ministres , des filles des gouverneurs , , soulève de nombreuses questions. Car aucune de ses filles n’avait un passé dans la prostitution, elles étaient toutes des femmes normales et plusieurs Riches !
Si l’infidélité seule était en jeu, on pourrait presque s’y résigner. Cependant, ces femmes vont bien au-delà de l’infidélité. L’exemple de celle qui, enceinte de son oncle, se laisse filmer avec enthousiasme par le cousin de son mari, est particulièrement troublant. Cela amène à s’interroger : étaient-elles réellement conscientes de leurs actes, ou sous une forme de manipulation ?
Des voix s’élèvent pour dire que ces femmes étaient sous l’emprise de forces spirituelles.
Des pratiques de manipulation mentale, communément appelées « grigri » ou « magie », sont évoquées pour expliquer pourquoi ces femmes auraient accepté de se livrer à des actes intimes tout en étant filmées.
Certaines d’entre elles, bien qu’éduquées et respectées, se seraient retrouvées dans des situations d’humiliation qu’elles n’auraient jamais envisagées autrement.
Leurs comportements seraient influencés par une emprise spirituelle puissante, une sorte de contrôle qui dépasse la simple attraction physique ou matérielle.
Cependant, d’autres observateurs remettent en question cette interprétation et soulignent que chaque femme présente dans les vidéos semble être consentante et en pleine possession de ses moyens.
Le fait qu’elles aient accepté de se faire filmer, souvent en regardant directement la caméra, semble indiquer qu’il ne s’agit pas d’un acte imposé par des forces invisibles. Ces femmes, malgré leur profil respecté et leur statut social, auraient donc agi en toute conscience, avec une volonté libre et personnelle.
L’affaire Balthazar expose ainsi deux visions opposées : d’un côté, la croyance en une manipulation spirituelle qui aurait rendu ces femmes « contrôlées » ; de l’autre, l’idée qu’elles étaient simplement consentantes, attirées par le pouvoir ou la séduction de cet homme.
La société, perplexe, doit maintenant déterminer jusqu’où va la responsabilité individuelle face à de telles accusations de manipulation, et si la dimension spirituelle peut réellement influencer des femmes adultes dans des décisions aussi personnelles et graves.